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ReCODE


Protocole Anti-Alzheimer du Pr Dale BREDESEN

Connaissez vous ReCODE ?

ReCODE le programme révolutionnaire du Dr Dale BREDESEN Fruit de plus de trente année de recherche.

Se programme se nomme ReCODE, permet aux malades souffrant de déficience cognitive ou d'Alzheimer de retrouver la mémoire, il permet à chacun de retrouver un équilibre et une vie normal.

Qu’est ce que le Protocole ReCODE ?

ReCODE est le fruit de plus de trente années de recherche scientifique sur les mécanismes du cerveau. Le Docteur Dale BREDESEN à étudier notre cerveau et il à mis au point un programme capable d’inverser la déficience cognitive. En fait, tout le succès de se programme résulte sur le fait que l’on ne s’attaque pas aux plaques amyloïde mais à l’état général du patient. Le succès de se programme tient du fait d’un régime alimentaire strict, associé à certain complément alimentaire de type B9, B12, Oméga 3 etc… Il est important de déterminer le type d’Alzheimer dont le patient est porteur ( Toxique, Inflammatoire ou Génotype Apoe4 ) par le biais d’une série d’analyse biologique, d’un Pet Scan et d’un IRM pour déterminer le taux de toxicité ou d’inflammation du patient. Le patient devra contrôler sa cétose et sa tension pendant son régime alimentaire de type cetoflex pour nettoyer en quelque sorte ces organes et ces humeurs. Des contrôles biologiques périodiques seront effectué afin de voir l’avancer de la maladie ou le recul de celle ci et le cas échéant modifier le traitement. La base du Protocole ReCODE est l’équilibre des hormones, de la TSH, du sytème hépatique, rénal, de tout les microbiotes ( Intestinal, Buccal et Nasal ) etc.… Le Naturopathe Coach devra conseiller son patient sur la nature du régime alimentaire et, le cas échéant, des compléments alimentaire que le patient devra prendre. Le Neurologue, sera charger de vérifier et d’ordonner les examens bactériologiques et biologiques ainsi que les examens radiologiques. Actuellement 8 patients sur 10 retrouve une vie tout à fait normal après le programme ReCODE.

 

« La maladie d’Alzheimer peut être évitée et, dans de nombreux cas, le déclin cognitif qui y est associé peut être inversé"

Dr Dale BREDESEN - Buck Institute

Alzheimer, le protocole qui a guéri huit malades sur dix

 

Enfin un espoir contre Alzheimer ! Tout le monde le sait, même s’ils rapportent des milliards, les

traitements médicamenteux sont absolument inefficaces contre la maladie. Mais des chercheurs

californiens ont pu inverser sa progression avec des approches non chimiques, grâce à un protocole

en 36 points. Explications en détail.

Le Pr Dale Bredesen, inventeur d’un protocole efficace pour lutter contre les stades précoce et

débutant d’Alzheimer. Dale Bredesen est professeur de neurologie et travaille au centre de recherches sur Alzheimer de l’université de Californie, à Los Angeles (Buck Institute). En 2014, il élabore une nouvelle hypothèse thérapeutique et permet à dix volontaires atteints de la maladie de tester un protocole qu’il appelle

MEND, l’acronyme anglais d’« amélioration métabolique de la neuro-dégénérescence ».

Au bout de quelques mois, le traitement est couronné de succès pour les huit volontaires atteints

d’une forme précoce ou débutante de la maladie. Ils ont récupéré toutes leurs facultés cognitives et

ceux qui avaient été contraints de renoncer à leur activité professionnelle à cause du déclin de

celles-ci ont pu la reprendre. L’évolution de la maladie a été stoppée chez une neuvième personne

qui souffrait d’une forme plus avancée, mais sans récupération. Malheureusement, la thérapie a été

sans effet pour la dixième personne, qui se trouvait au dernier stade de la maladie.

En trente ans de recherches intenses et quelque 80 médicaments testés par l’industrie pharmaceutique, c’est la première fois qu’un chercheur constate de réelles améliorations et démontre que la maladie, à condition de ne pas être prise à un stade trop avancé, peut disparaître. Le Pr Bredesen n’a pas obtenu ces résultats spectaculaires en prescrivant une pilule miracle, mais en mettant au point un programme d’un genre nouveau en 36 points, basé sur les plus récentes avancées scientifiques : nutrition, exercice physique, compléments alimentaires, gestion du stress, alimentation, etc.

UN AUTRE REGARD SUR LA MALADIE

Si les travaux du Pr Bredesen ne sont pas enseignés aux malades, c’est parce que, d’après les «

experts » des autorités de santé, l’étude porte sur un très petit nombre de patients et n’a que trois

ans de recul. Un argumentaire étonnant : quand il s’agit de tester des médicaments, les études

durent rarement plus de quelques mois… Rappelons à ce propos que, face à Alzheimer, les

médicaments sont si inefficaces qu’ils sont déconseillés par les médecins, y compris par les plus

traditionalistes comme ceux de la Haute Autorité de santé.

Cependant, les travaux du Pr Bredesen peuvent être pris au sérieux car l’influence prépondérante de l’hygiène de vie sur l’évolution de la maladie a été confirmée par une étude finlandaise regroupant 1260

personnes souffrant d’une forme légère de la maladie. Réparties en deux groupes, les volontaires ont pour moitié adopté de nouvelles mesures concernant l’alimentation, l’activité physique et l’entraînement cognitif, tandis que l’autre moitié conservait ses habitudes. En l’espace de deux ans, les bienfaits ont été nets dans le groupe ayant modifié son mode de vie : l’aggravation de leurs troubles a été stoppée et leurs facultés cognitives se sont améliorées. Ce qui découle de ces résultats, c’est qu’Alzheimer est loin d’être une fatalité ou d’être due au vieillissement : il s’agit bel et bien d’une maladie du mode de vie et elle peut être réversible. 

QUE SE PASSE-T-IL DANS LE CERVEAU D’UN MALADE ?

 

Bien que la maladie d’Alzheimer ne soit pas encore totalement comprise, certains éléments sont bien

identifiés, notamment en ce qui concerne la cause. En effet, parmi toutes les études épidémiologiques (une étude qui cherche à faire le lien entre environnement et apparition d’un problème de santé) menées sur le sujet, seules certaines ont montré des résultats convaincants : ce sont celles qui relient l’apparition de la maladie d’Alzheimer à une infection. Cette infection pourrait être un prion ou une bactérie. Par exemple, les personnes qui ont été contaminées par une bactérie spirochète au cours de leur vie ont un risque de développer la maladie d’Alzheimer augmenté de 1 000 % ! Cette famille de bactéries comprend par exemple la maladie de Lyme ou la syphilis. Autre suspect évoqué :Chlamydophila pneumoniae, la bactérie principalement responsable de la pneumonie bactérienne, qui augmenterait le risque de 500 %. Le processus serait donc le suivant : à la suite d’une infection chez une personne dont le système immunitaire est fragile, la bactérie, le prion ou le champignon vont réussir à gagner le cerveau. Pour réussir à bloquer la prolifération bactérienne, le cerveau se défendrait par une surproduction de plaques amyloïdes entre les neurones. Cet amas de plaques serait la première anomalie décelable dans le cerveau, avant même l’apparition des troubles cognitifs. Par une succession de réactions inflammatoires, ces plaques entraîneraient l’accumulation à l’intérieur des neurones d’une protéine anormale, la protéine Tau, provoquant la dégénérescence et la mort des cellules nerveuses ; c’est à ce moment que les premiers symptômes deviennent notables. 

 

Les lésions démarrent dans l’hippocampe, la zone du cerveau impliquée dans la mémorisation. Puis, elle s’étend progressivement au système limbique, des régions qui gèrent les émotions et les liens entre souvenirs et comportements, elle finit par atteindre le cortex cérébral qui commande les fonctions cognitives : langage, raisonnement, organisation, planification, etc. Mais les recherches bloquent sur la complexité des mécanismes cérébraux ; le tableau demeure encore incomplet et les vrais coupables, virus, bactéries ou champignons, ne sont pas identifiés, probablement car la  maladie reste multifactorielle. Ainsi, tous les problèmes de santé qui affaiblissent l’immunité exposent à un plus grand risque d’Alzheimer : diabète, déficit en vitamine D, VIH, etc. Quoi qu’il en soit, les recherches actuelles expliquent aisément pourquoi les médicaments sont inéfficaces : en ciblant la destruction des plaques via une molécule chimique, on ne bloque pas la progression de l’infection. 

QU’ALLEZ-VOUS FAIRE AUJOURD’HUI POUR PROTÉGER VOTRE CERVEAU ?

 

Des chercheurs sont parvenus à isoler les neuf facteurs qui seraient responsables à eux seuls d’un affaiblissement immunitaire capable de laisser le champ libre à la maladie d’Alzheimer:

1.Être obèse, surtout à la cinquantaine

2.Le tabagisme

3.Le rétrécissement de l’artère carotide (celle qui alimente le cerveau en sang oxygéné)

4.Le diabète de type 2

5.Un niveau d’éducation faible

6.Une concentration élevée d’homocystéine, une substance toxique, dans le sang

7.La dépression

8.L’hypertension

9.La diminution des réserves physiologiques des personnes vieillissantes (baisse de la masse

musculaire, notamment).

La bonne nouvelle, c’est que les scientifiques ont aussi mis en évidence les comportements

bénéfiques à adopter pour une prévention efficace :

 

•Diminuer la consommation de sel.

.S’assurer d’un apport élevé en folates, la forme naturelle de la vitamine B9, via les légumes verts à feuilles (épinards, salade, chou, haricots), la levure de bière, le foie.

-Consommer des aliments riches en vitamines C et E, des substances cruciales pour la santé cardiovasculaire et le bon état des carotides. La vitamine C est présente dans les fruits et les légumes (persil, crucifères, poivron, cassis, orange, etc.) et la vitamine E dans les huiles vierges d’olive et de colza ex traites à froid, les amandes, les noix et l’avocat.

•Boire régulièrement 1 à 2 tasses de café si vous l’appréciez .

-Adopter le régime méditerranéen comprenant une grande quantité de végétaux (fruits et légumes,

légumineuses, oléagineux, céréales complètes) .

 

-Réduire la consommation d’acides gras trans et de graisses saturées (viennoiseries, plats industriels, charcuterie) et consommer des huiles végétales riches en oméga 3 (lin, caméline, colza) ainsi que des petits poissons (sardines, maquereaux, anchois) ou des gélules d’huile de poisson.

-Prendre un complément de vitamine B12 (selon les besoins) en cas d’alimentation végétarienne, végétalienne ou de problèmes d’estomac (ulcères, etc.) afin de réduire le niveau d’homocystéine .

-Éviter le fer et le cuivre dans les compléments alimentaires multi-vitaminés car ils augmentent le stress oxydatif. De plus, le fer est soupçonné d’accélérer les maladies neuro dégénératives .

-Même si leur rôle n’est pas clairement démontré, ne pas utiliser d’ustensiles en aluminium.

•Faire au moins 40 min. de marche ou d’une activité d’endurance 3 fois par semaine. Une pratique physique régulière oxygène le cerveau et multiplie les neurones .

-S’exposer au soleil afin que la peau synthétise la vitamine D, qui permet au système immunitaire de lutter contre les plaques amyloïdes et prendre un supplément de 4 000 UI par jour entre octobre et avril.

-Éviter les modes de cuisson à haute température, comme le barbecue ou les grillades, générateurs

de produits avancés de la glycation (AGE), qui fragilisent l’immunité et favorisent l’accumulation de plaques amyloïdes dans le cerveau . Préférer les cuissons douces et lentes : à l’étouffée, à la vapeur ou à l’eau.

Une maladie provoquée par les médicaments

 

Sur les 200 000 nouveaux cas d’Alzheimer recensés chaque année, 30 000 pourraient être accélérés par la prise de benzodiazépines, ces médicaments anxiolytiques ou somnifères qui agissent sur le système nerveux central. D’ailleurs, certains ne devraient pas être prescrits plus de deux semaines, pourtant les Français, notamment les personnes âgées, détiennent un triste record de consommation dans ce domaine. Voici la liste des anxiolytiques pointés du doigt : Xanax, Lexomil, Valium, Tranxene, Veratran, Victan, Témesta, Lysanxia, Seresta, Nordaz, Urbanyl.

Les hypnotiques contenant de la benzodiazépine sont : Mogadon, Stilnox, Nuctalon, Havlane, Versed, Normison, Imovane. Sans oublier l’anticonvulsivant Rivotril. La détérioration cérébrale dont seraient responsables ces médicaments pourrait être perceptible dans les cinq ans après les premières prises à partir du moment où la médication dépasse trois mois. 

LE PLAN D’ACTION QUAND LA MALADIE A DÉBUTÉ

 

Les résultats surprenants obtenus par le Dr Bredesen montrent qu’il ne faut pas se décourager, mais, au contraire, s’investir dès les premiers signes de la maladie et accepter des modifications de son mode de vie. La prise en charge est multiple et remplit une série d’objectifs complémentaires. Elle doit être personnalisée, afin de combler les carences existantes propres à chacun. Voici les objectifs proposés et les solutions qui peuvent être mises en place pour les atteindre :

1.Nourrir le cerveau

Il faut couvrir les besoins du corps en DHA, un acide gras de la famille des oméga-3, qui favorise la formation de nouveaux neurones. Afin de maîtriser l’inflammation, il faut également veiller à corriger le déséquilibre entre les oméga 3 et les oméga 6 :

•Consommer deux fois par semaine du poisson (hareng, maquereau, sardines), riche en DHA.

•Éviter la viande rouge, la charcuterie et les produits laitiers, y compris le beurre.

•Supprimer les sources d’acides gras trans (viennoiseries, biscuits industriels).

•Supprimer les huiles de tournesol ou de maïs. Préférer l’huile vierge de lin, de colza, d’olive et de coco.

•Consommer beaucoup de légumes et de fruits.

•Minimiser la résistance à l’insuline et stimuler la production de corps cétoniques.

Un dérèglement du métabolisme des glucides est caractéristique de la maladie d’Alzheimer,  probablement car les cellules nerveuses sont endommagées par l’infection et ne sont plus capables

d’absorber le sucre. Résultat, l’hippocampe s’atrophie :

•Éviter les glucides à index glycémique (IG) élevé : sodas, jus de fruits, confiture, pommes de terre, etc.

•Diminuer la consommation de céréales et féculents et éviter les céréales raffinées.

•Supprimer le gluten et les plats industriels.

•Consommer 1 cuillère à soupe matin et soir d’huile de coco vierge, source de corps cétoniques .

Pour habituer les intestins, commencer par une cuillère à café et augmenter progressivement.

•Ne rien manger dans les 3 h précédant le coucher.

Respecter un jeûne de 12 h après le dîner.

2.Diminuer le stress

En situation de stress chronique, le cerveau a tendance à dépérir. L’hippocampe est en effet très sensible au cortisol, l’hormone du stress, qui fait diminuer la neurogenèse. Or, un millier de nouveaux

neurones participant aux processus de mémorisation se forment là chaque jour. D’autre part, le stress contribue à l’augmentation de la production des molécules constituant les plaques amyloïdes, accélérant la destruction de l’hippocampe.

Pour diminuer le stress, vous pouvez :

•Pratiquer le yoga.

•Faire une séance quotidienne de méditation de pleine conscience de 30 min.

Régime cétogène

Les glucides ne sont pas la seule source d’énergie pour le cerveau. L’autre façon de l’approvisionner,

ce sont les corps cétoniques, des molécules naturelles qui se forment dans le foie à partir des acides

gras. Les corps cétoniques ont la capacité de directement parvenir aux neurones affamés d l’hippocampe et leur procurent de l’énergie pour se multiplier. Le régime cétogène propose de réduire drastiquement la consommation de glucides et de les remplacer par des acides gras, afin de stimuler la fabrication des corps cétoniques. L’huile de coco permet de fournir directement au cerveau des corps cétoniques, en grande quantité. Le jeûne est une autre façon d’amener l’organisme à produire les corps cétoniques. Ce régime a déjà amélioré la condition de nombreux patients.

3.Optimiser le sommeil

Le sommeil est indispensable au bon fonctionnement du cerveau, c’est durant le repos nocturne que les déchets, comme les molécules bêta-amyloïdes produites dans la journée, vont être évacués. C’est aussi à ce moment-là que les nouvelles expériences s’enregistrent dans la mémoire à long terme. Pour s’assurer de dormir d’un bon sommeil profond :

•Dormir au minimum 7 à 8 h par nuit.

-Prendre éventuellement 0,5g de mélatonine au coucher.

-En cas de réveils nocturnes, ajouter 500 mg de tryptophane ( 5htp ).

-Traiter les apnées du sommeil si nécessaire.

4.Améliorer la neuroplasticité et favoriser la neurogenèse

L’exercice mental est capable de modifier l’organisation cérébrale en favorisant le développement des neurones des régions les plus utilisées. Mais l’exercice physique doit aussi être considéré comme une activité cérébrale qui booste la création de nouveaux neurones dans l’hippocampe .

•Lire, écrire, communiquer avec son entourage, écouter de la musique, jouer, etc. Toutes ces activités de loisirs retardent le déclin cognitif.

5.Pratiquer une activité physique adaptée :

Des séances de 30 à 60 min, 4 à 6 jours par semaine.

-Suivre un programme de stimulation cognitive : ateliers mémoire ou méthode Gym Cerveau de Monique Le Poncin. Ajouter des activités intellectuelles comme les mots croisés, le sudoku et des jeux thérapeutiques sur ordinateur, comme X-Torp (disponible sur ) http://www.curapy.com/

6.Éviter les infections

Les inflammations dans la bouche sont soupçonnées d’activer les processus inflammatoires du cerveau, les germes étant susceptibles d’infecter les régions cérébrales. L’intestin est l’autre porte d’entrée de toxines et un déséquilibre du microbiote est susceptible de déclencher inflammation et infection :

•Consulter un dentiste et faire un détartrage.

•Utiliser une brosse à dents électrique et nettoyer les espaces inter-dentaires à l’aide de brossettes.

 Prendre un complément de probiotiques : en 12 semaines, les capacités cognitives s’améliorent .

7. À contrôler

Un faible taux de vitamine B12 est en lien avec un niveau élevé d’homocystéine dans le sang et représente un des facteurs de risques d’Alzheimer. Un manque de vitamine D empêche les nouveaux neurones de parvenir à maturation dans l’hippocampe:

•Le statut en vitamine B12 doit être supérieur à 670 ng/L ; si non, se supplémenter avec 1 mg de

méthylcobalamine, la forme naturelle de la B12.

-Le taux sanguin de vitamine D3 doit être compris entre 50 et 100 ng/mL ; sinon, se supplémenter avec un complément d’au moins 4 000 UI par jour.

À ce programme peuvent s’ajouter des compléments alimentaires pour combler les déficits individuels et dont les mécanismes d’action se complètent et se renforcent :

Pour réduire l’inflammation, se détoxiquer et freiner la progression des plaques amyloïdes :

•Des acides gras oméga 3 : 500 mg d’EPA et 700 mg de DHA par jour

•Des phospholipides de curcuma : 400 mg de curcumine par jour

•De l’acide alpha-lipoïque : 0,6 à 1,8 g par jour

Pour améliorer les fonctions cognitives et avoir des effets positifs sur l’hippocampe :

-Du magnésium : 150 mg par jour sous forme de citrate, malate, thréonate ou gluconate.

-Du resvératrol : 500 mg par jour

-Du bacopa monnieri : 250 mg par jour, standardisé à 55 % de bacosides ou 1 500 mg par jour, standardisé à 10 %.

-Du ginkgo biloba : à utiliser avec précaution s’il y a un traitement anticoagulant.

Pour optimiser le statut en antioxydants et renforcer le fonctionnement énergétique cellulaire :

•De la vitamine C : 500 mg par jour

-De la coenzyme Q10 : 200 mg par jour

Il faut parfois quelques mois pour que les premiers résultats soient visibles. Attention : les symptômes réapparaissent rapidement si l’on s’écarte du protocole.

Incurable la Maladie d’Alzheimer ? Ce n’est plus le cas.

Après des années de recherche, le Dr Dale BREDESEN et son équipe de l’université de Californie ont mis au point un programme global qui permet à de nombreux malades d’Alzheimer et de déficit cognitif de retrouver leur capacité à se souvenir, à penser, à mener de nouveau une vie normale. En ciblant un à un les multiples facteurs responsables de le maladie, en intervenant sur l’alimentation, le statut hormonal, l’inflammation, les toxiques, l’activité physique. ReCODE donne des résultats impressionnant. Sur les dix premiers patients ayant suivi quelques mois le protocole ReCODE, 9 ont connu des améliorations significatives, souvent spectaculaires. L’étude est parue dans Aging en 2016. Depuis ReCODE a bénéficié à des centaines de patients: plus de la moitié n’ont plus aucun symptôme.


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